RENDEMENTS agricoles, des terres ouvertes...
Ouvertes, voulant dire LABOURÉES, semées par l'homme.
Colza, orges, blé, pois etc...
Dans les Amognes, autour de chez moi, chez moi, partout...
La pire année depuis 92, date de mon arrivée. Et certainement bien plus loin encore, autant dans le temps que géographiquement parlant.
2016, une catastrophe. Un BOUILLON général...
Sauf pour la plante du même nom, qui, comme ce modèle nous le montre 'mieux que bien', a su nous 'niquer le climat, le froid', grâce à son joli manteau...
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Or selon mes observations...
Les plantes poilues et celles sachant se CIRER elles-mêmes, dont les feuilles de grands arbres de nos massifs forestiers se portent 'à merveille'.
Il y a des semaines, que je conte 'la forêt vierge' sur ma page Facebook. Et à pied, avec retour à la niche du POILU le même soir, jamais vu, le moindre petit morceau de terre d'AMAZONIE...
Alf et ma pomme randonnons local.
Misère à l'extérieur des bois, opulence dedans.
Comme si au fond, le POIDS qui manque au GRAIN de nos productions agricoles, s'y était retrouvé, quasi ... déporté d'office.
Et le plus logiquement du monde, si l'on pratique la réflexion, en mode 'pensée globale'.
Ma came, ma boussole à comprendre la nature, notre planète, et ses grands couillons d'habitants (nous tous!).
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Ce premier petit bilan 2016, me laisse songeuse.
On en reparle...
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La Cigogne noire